Aux Sources de Medjugorje — Transcription des audiocassettes

Le père Jozo Zovko interroge Vicka Ivanković dans la matinée du 30 juin 1981

Daria Klanac, Aux Sources de Medjugorje, Éditions Sciences et Culture, Montréal, 2014, 3e éd. (1re éd. 1998, ISBN 2-89092-240-5), chapitre viii, pages 155 à 158.

Pages liées

Les interrogatoires des premiers jours
 

 

 

 

[p. 155]

 
Le père Jozo Zovko interroge Vicka Ivanković dans la matinée du 30 juin 1981
 

 

Original croate

Archives paroissiales de Medjugorje.
Transcription de Daria Klanac
révisée et corrigée en juillet 2014.

 

Traduction française
de Daria Klanac

Traduction révisée et corrigée en juillet 2014.

 

 

Fra Jozo Zovko ispituje Vicku Ivanković, 30.6.81. ujutro.

Dans la matinée du 30 juin 1981, le père Jozo Zovko interroge Vicka Ivanković (16 ans).

 

Fra Jozo : Molim te, jeste li se dogovarali, Vicka, što ćete danas govoriti Gospi ?

Père Jozo : S’il te plaît, Vicka, est-ce que vous vous êtes entendues sur ce que vous allez dire à Gospa aujourd’hui ?

 

Vicka : Nismo, ali ima nekih pitanja.

Vicka : Non, mais il y a quelques questions.

 

Fra Jozo : Znam, ali ovo što ste sa Marinkom razgovarali znaš ?

Père Jozo : Je sais, mais de ce que vous avez parlé avec Marinko, tu sais ?

 

Vicka : Ima jedno pitanje što nam je Marimko dao : kakva je moć Gospina i to. Ako nemože ona nek joj upomoć Spasitelj Isus zajedno pomogne. Onda ćemo je mi to pitati, on nam je to reko.

Vicka : Il y a une question que Marinko nous a donné : quel est le pouvoir de Gospa ? Si elle ne peut pas, que Jésus le Sauveur lui vienne en aide. Alors nous allons lui demander, c’est lui qui nous l’a dit.

 

Fra Jozo : A što je ti još imaš danas pitati ?

Père Jozo : Et qu’est-ce que tu as encore à demander aujourd’hui ?

 

Vicka : Pa pitat ćemo je jopet hoće li nam ikakav ostavit znak, koliko će dana bit. Pet šest pitanja ću nać, to ću ja pitat.

Vicka : Nous allons lui demander de nouveau si elle veut nous laisser un signe, combien de jours elle restera avec nous. Je vais trouver cinq ou six questions, c’est moi qui vais les poser.

 

Fra Jozo : A ti pitaš sve ?

Père Jozo : C’est toi qui demande tout ?

 

Vicka : Ja neću sve. Ja mislim za sebe što ja imam pitat. Tako će svak pitat.

Vicka : Pas tout. Je pense pour moi-même à ce que je vais demander. Ainsi, chacun son tour.

 

Fra Jozo : Jesi ti sinoć išta pitala ?

Père Jozo : Hier soir, as-tu demandé quelque chose ?

 

Vicka : Jesam.

Vicka : Oui.

 

Fra Jozo : A nije ti odgovorila jel ?

Père Jozo : Elle ne t’a pas répondu, n’est-ce pas ?

 

Vicka : Nije.

Vicka : Non.

 

Fra Jozo : Je l’ ti to problem što ti nije odgovorila ?

Père Jozo : Est-ce un problème pour toi qu’elle ne t’a pas répondu ?

 

Vicka : Jest, nije mi odgovorila, što ću ja ?

Vicka : Oui, elle ne m’a pas répondu, que puis-je ?

 

Fra Jozo : Pa dobro, znači onda da je ti nisi vidila, moja Vicka.

Père Jozo : Eh bien, cela signifie que tu ne l’as pas vue, ma Vicka.

 

Vicka : Ali ja sam joj postavila prvo pitanje i ona mi je odgovorila, postavljam joj drugo pitanje ona me sve zaobilazi i kako poče ona poče ja vidim da ona odgovara ali nekako…

Vicka : Mais je lui ai posé la première question et elle m’a répondu. Je lui pose la deuxième et c’est comme si elle m’échappait, puis comme si elle commençait, je vois qu’elle répond, mais…

 

Fra Jozo : Koje to pitanje bilo Vicka ?

Père Jozo : Quelle était cette question, Vicka ?

 

Vicka : Kad sam joj postavila kakvu ona ima želju ovde baš na ovom mjestu.

Vicka : Lorsque je lui ai demandé quel était son désir précisément en ce lieu.

 

Fra Jozo : I da nije znala reći ?

Père Jozo : Et elle ne savait pas le dire.

 

Vicka : I nije znala.

Vicka : Elle ne savait pas.

 

Fra Jozo : Ma kakva je Gospa koja nezna. Onda je ona manja od djeteta.

Père Jozo : Qu’est-ce que c’est que cette Gospa qui ne sait pas ? Alors elle est moindre qu’un enfant ?

 

Vicka : Ne, ona je meni počela govorit sve.

Vicka : Non. Elle commençait à me parler de tout cela.

 

Fra Jozo : Što je počela ?

Père Jozo : Qu’est-ce qu’elle commençait à dire ?

 

Vicka : Slušali mi da čujemo što ona govori i nas odjedno gurnuli, svi smo dole popadali a ja se nisam sjetila da joj ponovim ponovo pitanje pa da ona meni to odgovori fino.

Vicka : Nous étions en train d’écouter ce qu’elle disait, et soudain on nous a poussé et nous sommes tous tombés à terre. Je n’ai plus pensé à lui poser de nouveau cette question pour qu’elle me réponde.

[p. 156]

Fra Jozo : A šta je počela odgovarati molim te ?

Père Jozo : Et qu’est-ce qu’elle commençait à répondre, s’il te plaît ?

 

Vicka : Počela je odgovarat. Prvo počela je govorit : « Anđeli… », i odozda sve se na nas navalilo. Sve su nas porušili i onda ja ću zapazit opet svjetlo da ja upitam i ponovim opet to pitanje, da bi bila sigurna. Meni ona opet počela govorit.

Vicka : Elle a commencé à répondre, En premier elle a commencé à dire : « Mes anges… » et soudain tous les gens se sont rués sur nous. Ils nous ont poussés à terre. Puis j’ai aperçu de nouveau la lumière. J’avais l’intention de lui poser de nouveau cette question pour en être sûre. Elle commençait de nouveau à me parler.

 

Fra Jozo : A zanima me Vicka, ti sinoć si bila voljna ne ići na brdo, jelda ?

Père Jozo : Ceci m’intéresse, Vicka. Hier soir, tu n’avais pas le goût d’aller sur la colline, n’est-ce pas ?

 

Vicka : Nisam. Ja sam odmah rekla Zrinki da ću ići.

Vicka : Non, j’ai tout de suite dit à Zrinko que j’irais.

 

Fra Jozo : Pa što nisi došla u nedjelju molit Boga, molim te ?

Père Jozo : Et pourquoi n’es-tu pas venue dimanche prier Dieu, s’il te plaît ?

 

Vicka : U nedjelju ? Pa ja nisam mogla doći. Mi došli kući u dva i petnaest.

Vicka : Dimanche ? Je ne pouvais pas venir. Nous sommes arrivés à la maison à 2h15 [de l’après-midi].

 

Fra Jozo : A dvije ti sestre došle ?

Père Jozo : Mais tes deux sœurs sont venues.

 

Vicka : Dvije sestre došle.

Vicka : Mes deux sœurs sont venues.

 

Fra Jozo : Pa zašto ti sestre ne povedeš da one vide ?

Père Jozo : Pourquoi n’amènes-tu pas tes sœurs pour qu’elles voient ?

 

Vicka : A ja sam povela, one su došle prida nje i rodica. Tri su došle kod mene. I kaže ona mi jedna rodica da mi nešto oda po leđim. Ona mi rekla, a sestra kaže : « Ja ću doveče biti iza vas i stajat ću, ali vidjela sam zvijezde i oblak sve, samo ja neću ja to govorit dok ne budem sigurna », ona je tako nam rekla Ankica.

Vicka : Je les ai amenées. Elles sont venues devant. Et ma cousine aussi. : Les trois sont venues près de moi. Une cousine m’a dit que quelque chose glissait sur mes épaules. Elle me l’a dit. Ma sœur m’a dit : « Je vais rester ce soir en arrière de vous, je vais me tenir là. J’ai vu les étoiles et le nuage. Seulement, je n’en parlerai pas avant d’être sûre » C’est Ankica [Ana, ma sœur] qui nous a dit cela.

 

Fra Jozo : A znači ona želi kazat da ne budete nesigurni, kao što ste vi bili nesigurni kad ste rekli.

Père Jozo : Cela signifie qu’elle veut dire qu’il faut en être certaine avant d’en parler. Pas comme vous qui avez parlé sans être sûres.

 

Vicka : Normalno. Mi nismo nesigurni, mi smo sigurniji od sigurnih. Mi znamo šta govorimo, sigurno.

Vicka : C’est normal. Nous ne sommes pas incertaines, nous sommes plus que certaines. Nous savons ce que nous disons. C’est sûr.

 

Fra Jozo : A ovo me zanima. Kad nisi još smislila šta ćete reć narodu danas, to je muka. Dođe narod gore, a vi niste se još dogovorili. To je sad muka jedna. Narod se ljuti, znaš. Što ćete reć danas narodu ? Ti si hrabra, ti jedna od najjače govoriš, znaš ? Zanima me što ćeš reć danas narodu.

Père Jozo : Ceci m’intéresse. Tu n’as pas encore trouvé ce que vous allez dire aux gens aujoud’hui, c’est pénible. Les gens arrivent en haut et vous ne vous êtes pas encore entendues. C’est tout un problème. Les gens se fâchent, sais-tu ? Qu’allez-vous dire aux gens aujourd’hui ? Tu es courageuse. Tu es celle qui parle le plus fort, tu sais. Cela m’intéresse de savoir ce que tu vas dire aux gens aujourd’hui.

 

Vicka : Ja ću reć narodu da više niko ne dolazi.

Vicka : Je dirai aux gens que plus personne ne vienne.

 

Fra Jozo : A šta ćeš mu reć ako treba doć ? Šta ćeš mu reć da ne dolazi ako…

Père Jozo : Pourquoi vas-tu leur dire ça s’il faut qu’ils viennent ? Pourquoi leur dire de ne pas venir, si…

 

Vicka : Mislim, ako bude potrebno da dolazi nek narod dođe. Mi ćemo pitat fino Gospe da li mi možemo. Može ona bez ovog naroda. Možda bi nam onda sve to drugačije bilo. Nemore to nikako među narodom. Ono donilo kazetofon gori i sluša muziku, a kasnje uzelo traku i da snima. Kakav je to vjernik.

Vicka : À mon avis, si c’est nécessaire que les gens viennent, qu’ils viennent. Nous allons gentiment demander à Gospa si nous le pouvons. Elle peut se passer de ces gens. Peut-être que tout cela alors, serait différent pour nous. C’est difficile avec les gens. Il y en a qui apportent leurs appareils à enregistrer, ils écoutent de la musique et ensuite ils enregistrent. Quelle est cette sorte de fidèles ?

[p. 157]

Fra Jozo : Hoćeš li ti danas pozvati narod da dođe u crkvu, da molimo Boga ?

Père Jozo : Aujourd’hui, veux-tu inviter les gens à venir à l’église pour prier Dieu ?

 

Vicka : To ne znam.

Vicka : Je ne le sais pas.

 

Fra Jozo : Pa da molimo krunicu. Držiš li da je to pametno ? Da je Gospa to vama nebi da narod moli, jelde ? Šta misliš bili volila ? Nebi joj to bilo drago ?

Père Jozo : Pour réciter le rosaire ? Penses-tu que c’est intelligent ? Si c’était Gospa, aimerait-elle que les gens prient ? Qu’en penses-tu, est-ce qu’elle aimerait cela ? Non, elle n’aimerait pas cela.

 

Vicka : Ja mislim da nebi isto, ne moramo mi doć ali…

Vicka : Je pense aussi que non. Nous ne devrons pas venir, mais…

 

Fra Jozo : Što ne voli ona kad se moli, je l’ de ?

Père Jozo : Quoi, elle n’aime pas qu’on prie, c’est cela ?

 

Vicka : Voli, voli. Nisam ja ništa rekla. Voli ona da se moli i da se pjeva, isto.

Vicka : Elle aime, elle aime je n’ai pas dit cela. Elle aime qu’on prie et qu’on chante aussi.

 

Fra Jozo : Pa zašto ti nisi zato da dođemo u crkvu ?

Père Jozo : Pourquoi n’es-tu pas pour cela d’aller à l’église ?

 

Vicka : Pa nisam ja, ja bih volila više otić, mene više gore želja vuče. Mislim ja u crkvu dođem, vamo, molim se Bogu, sve…

Vicka : Je ne le sais pas. Je préférerais aller [sur la colline]; je suis plus attirée pour là-haut. Je veux dire, je vais à l’église pour prier Dieu et tout…

 

Fra Jozo : Al ne. Kad završi gore, onda da nastavimo ovdje molit Boga.

Père Jozo : Mais non. Lorsque c’est fini là-haut, alors nous continuerons à prier ici.

 

Vicka : Aha ! Gori ! Bi. Može. To se ja slažem tako, ali ja sam mislila kad gore narod dođe onda odozga u crkvu, ništa ne iđu gore nego odmah u crkvu, to se ipak nebi složila.

Vicka : Ah ! Là-haut ! Ça oui, je pourrais. Je suis d’accord avec cela. Mais je croyais qu’il fallait ramener les gens à l’église dès qu’ils arrivent en haut. Qu’ils n’aillent même pas là-haut, mais tout de suite à l’église, là-dessus, je ne serais pas d’accord.

 

Fra Jozo : Ma znam. Ali neka počme ukazanje u šest sati onda iza toga u šest i pol.

Père Jozo : Je sais. Mais, que l’apparition commence à 6h00 et puis après cela, [à l’église] à 6h30.

 

Vicka : A sinoć je počelo pa u sekundi jednoj, u sekundi.

Vicka : Hier soir, cela a commencé à la seconde près, voilà.

 

Fra Jozo : Što je počelo ?

Père Jozo : Qu’est-ce qui a commencé ?

 

Vicka : U sekundi je došla. Eto.

Vicka : Elle est arrivée à la seconde près. Voilà.

 

Fra Jozo : A budeš li ti tako obučena ?

Père Jozo : T’habilles-tu de cette façon ?

 

Vicka : Vako ? Nisam vako. Na meni su bile pantale.

Vicka : De cette façon ? Non, j’avais des pantalons.

 

Fra Jozo : Kako se još obučeš ? Što imaš gore ?

Père Jozo : Que mets tu d’autre ? Que portais-tu là-haut ?

 

Vicka : Košulja, neka majica.

Vicka : Une chemise ou un tee-shirt.

 

Fra Jozo : Budeš li lijepo obučena.

Père Jozo : Es-tu bien habillée ?

 

Vicka : Nekad jesam nekad nisam, stvarno ja ne gledam na sebi što ću obući. Meni to…

Vicka : Parfois oui, parfois non. Vraiment, je ne fais pas très attention à ce que je porte. Ça pour moi…

 

Fra Jozo : A sad ste postale popularne u selu, najpopularnije, o vama svak priča u Hercegovini, i svagdje. Svako vas želi vidjeti.

Père Jozo : Maintenant, vous êtes devenues populaires au village, les plus populaires. Tout le monde parle de vous en Herzégovine et partout. Tous veulent vous voir.

 

Vicka : Baš nam je reka oni Čapljinski fratar kad bi mi došli u Čapljinu doli, oni nekad. Ja nemam pojma šta ću doli ić, što ću vam ja.

Vicka : Justement, ce franciscain de Capljina [Tomislav Vlasic] nous a invitées à nous y rendre quelques fois. Je n’en ai aucune idée : à quoi bon y aller ? Que veux-tu que je te dise.

 

Fra Jozo : A zbog čega u Čapljinu ?

Père Jozo : Mais pourquoi faire à Caplijina ?

 

Vicka : On bi ko volio, bolan, da dođemo mi dolje, oni Tomislav.

Vicka : Il aimerait que nous allions là-bas, ce Tomislav.

[p. 158]

Fra Jozo : Radi čega ?

Père Jozo : Pourquoi ?

 

Vicka : A ne znam ja, kaže : « Ja bi volio kad bi vi kod mene došle ». Časne sestre one pitaju, ajde recite nam dan. To ja ništa nisam govorila, kad ne znam. Da ja sad kažem pa da slažem. Neću.

Vicka : Je ne sais pas. Il a dit : « J’aimerais si vous pouviez venir chez moi. » Les religieuses me le demandent. Dites-nous le jour. Je n’ai rien répondu, car je ne sais pas. Pourquoi le promettre et mentir ? Je ne veux pas.

 

Fra Jozo : Ovo me zanima, što misliš kad će prestat to ukazanje ?

Père Jozo : Cela m’ intéresse. Que penses-tu : Quand cesseront ces apparitions ?

 

Vicka : Ja mislim isto kad bi mi rekli da nećemo više dolazit pa da nam ostavi tačno neki znak, sigurno da bi prestala. Ali mi se nećemo od nje ako nam ona nešto ne ostavi, zato jer mi da nebi voliku masu sa sobom vukli, što se kaže za nos, bez veze. Nećemo. Nego kad smo mi na pravu, na pravom putu, iđemo da nešto i dokažemo, da se vidi da ne lažemo.

Vicka : Je pense que si nous cessions d’y aller, mais si elle nous laissait un signe, elle cesserait sûrement [d’apparaître]. Mais nous ne voulons pas la quitter avant qu’elle nous laisse quelque chose, parce que nous ne voulons pas traîner toute cette foule, comme on dit par le bout du nez, sans raison. Non. Mais étant donné que nous sommes dans le droit chemin, que nous avons raison, nous persisterons à prouver que nous ne mentons pas.

 

Fra Jozo : A što Isus govori : « Molite i čvrsto vjerujte i bit će vam » .

Père Jozo : Et que dit Jésus ? « Priez et croyez fermement et vous obtiendrez. »

 

Vicka : Normalno. I niko vas nemože nigdje gonit, i uspjet ćete sve. Nemore vam niko ništa, ko što i nemože. Mi se ne plašimo ništa.

Vicka : Naturellement. Et personne ne peut vous poursuivre, vous réussirez, personne ne peut rien vous faire, c’est vrai. Nous n’avons peur de rien.

 

Fra Jozo : Pa dobro što mene nikada niste zvali dosad još na brdo.

Père Jozo : Pourquoi ne m’avez-vous jamais invité sur la colline jusqu’à maintenant ?

 

Vicka : Pa mi kad dođemo, mi mislimo da ćete i vi doć sa fra Zrinkom, fra Zrinko dođe, pitamo gdje oni fra Jozo, kaže : « On moli u crkvi » .

Vicka : Quand nous y allons, nous pensons que vous aussi vous allez venir avec le Père Zrinko. Lui vient, et nous lui demandons où est le Père Jozo. Il dit : « Il prie à l’église. »

 

 

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